
Paroles de La rue appartient (Képi blanc)
1 - Puisqu’il nous faut vivre et lutter dans la souffrance
Le jour est venu où nous imposerons au front
La force de nos armes
La force de nos cœurs et de nos bras.
(Refrain) Foulant la boue sombre
Vont les Képis blancs (bis)
2 - La rue appartient, à celui qui y descend,
La rue appartient au drapeau des képis blancs.
Autour de nous la haine,
Autour de nous les dogmes qu’on abat.
3 - Combien sont tombés au hasard d’un clair matin
De nos camarades qui souriaient au destin,
Nous tomberons en route,
Nous tomberons ou vaincrons au combat
4 - La vie ne sourit qu’aux plus forts, aux plus vaillants
L’ardeur, la fierté, la jeunesse sont dans nos rangs
Pour nos combats, nos luttes
Honneur, fidélité sur nos drapeaux.
5 - Puis le jour viendra de brandir notre flambeau.
Le peuple, la jeunesse s’uniront à nos drapeaux.
Nous sauverons la France,
Nous bâtirons l’Europe de demain.
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A propos du chant "La rue appartient (Képi blanc)"
Les Allemands de la Légion étrangère ont permis à l’armée française d’étoffer son répertoire par l’adoption de nombreux chants germaniques.
Celui-ci a été écrit par Kurt Wiehle en 1933 : son titre officiel est Ob’s stürmt oder schneit, mais est plus connu comme le Panzerlied.
Thierry Bouzard rappelle qu’il en existe une « interprétation très martiale » dans le film « La bataille des Ardennes ». Il est entré dans le répertoire de l’armée française entre 1940 et 1954.
Chaque unité adopte sa version, en remplaçant le « képi blanc » par le « béret rouge » des parachutistes ou noir des commandos.
Ce chant est devenu traditionnel lors du bahutage des « bazards » à Saint-Cyr.
Pour Rémi Tryomphe, (Guide des chants de l’homme de droite), différents groupes ont interprété ce chant en adaptant le refrain : ainsi Jeune nation : « Passent les bérets noirs », la Division Charlemagne : « vont les corps-francs », la « Passent les képis blancs » et les parachutistes « Marchent les combattants ».
Source : http://club-acacia.over-blog.com
Version n°2 (Officiers du 1er R.E.P. - Fort de Nogent) :
1 - A celui qui y descend, la rue appartient
Au drapeau des képis blancs.
{Autour de nous la haine,
Autour de nous les dogmes qu’on abat.
Foulant la boue sombre
Vont les Képis blancs (bis)
2 - Combien sont tombés au hasard des (?)
De nos camarades qui souriaient au destin.
{Nous tomberons sans doute,
Nous tomberons, nous vaincrons au combat
Foulant la boue sombre
Vont les Képis blancs (bis)
3 - Puisqu’il nous faut vivre et lutter dans la souffrance
Le jour est venu où nous imposerons au front
{La force de nos âmes
La force de nos cœurs et de nos bras.
Foulant la boue sombre
Vont les Képis blancs (bis)
4 - La vie ne sourit qu’aux plus forts, aux plus vaillants
L’ardeur, la fierté, la jeunesse sont dans nos rangs
{Pour nos combats, nos luttes
Honneur, fidélité sur nos drapeaux.
Foulant la boue sombre
Vont les Képis blancs (bis)