Paroles de Alger la blanche
Paroles "Alger la blanche"
1 - Tu n'as pas vu, comme elle est blanche
La capitale de chez nous, Alger !
Quand le soir, elle se penche
Mirant son flanc sur les flots doux, sur les flots doux
Et là-haut, dans les pins sous les branches
Regarde-la d'un œil jaloux, d'un œil jaloux
Car jamais nulle cité ne fut si bien partagée
Que la capitale de chez nous, Alger !
2 - Toutes les villes de France
Ont un certain cachet,
Tant celles de Provence
Que celles de Franche Comté
Mais aucune d'entre elles
N'a d'aspect si touchant
La nôtre est la plus belle
Sous son climat charmant !
Et ceux qui l'ont vu
En sont revenu en s'écriant tout éperdus :
Tu n'as pas vu, comme elle est blanche
La capitale de chez nous, Alger !
3 - Quand le soir, elle se penche
Mirant son flanc sur les flots doux, sur les flots doux
Et là-haut, dans les pins sous les branches
Regarde-la d'un œil jaloux, d'un œil jaloux
Car jamais nulle cité ne fut si bien partagée
Que la capitale de chez nous, Alger !
4 - Mais aujourd'hui, c'est plus chez nous
C'est devenu Elle Djezaïr
Mais l'on ne peut pas haïr
Ce beau pays qui fut à nous
Et la nuit, quand on y pense
Ma parole on en devient fou !
Car jamais nulle cité, ne fut si mal partagée,
Que la capitale de chez nous, Alger !
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A propos du chant "Alger la blanche"
A l'origine, "Alger la blanche" est une chanson composée en 1930 par Félicien Grimm, né le 29 mai 1908 à Alger, décédé à Six Fours (Var) le 10 janvier 1983, au cours d'une opération bénigne qui tourna mal.
Trés jeune, il composa des poèmes qu'il porta sur un livret qu'il légua à son ami d'enfance Maurice Le Troquer (d'Alger lui aussi).
Félicien Grimm appartenait à l'association des Eclaireurs de France et c'est à l'occasion du centenaire qu'il composa sa chanson qui tomba rapidement dans le domaine public.
A sa mort, Mme Le Troquer est réstée dépositaire du livret original.